Exposition Hippocampe Hippo-Thau

Introduction et objectifs de l’exposition Hippocampe

L’Exposition Hippocampe est une création originale du Centre Permanent d’Initiatives pour l’Environnement (CPIE) Bassin de Thau. Conçue en 2015, elle représente l’aboutissement de plus de 10 ans d’observations et de collectes d’informations menées par des centaines de citoyens mobilisés et encadrés par l’association scientifique et naturaliste Peau-Bleue, structure membre du CPIE Bassin de Thau.

Le mystérieux et emblématique hippocampe fascine toutes les civilisations depuis l’Antiquité. Cet animal, souvent appelé le cheval des mers, possède une forme étrange facilement reconnaissable, évoquant à la fois une tête de cheval, des yeux de caméléon, une poche de kangourou et une queue de singe. Face à cette fascination du grand public – qu’il s’agisse d’enfants ou d’adultes – et au manque de connaissances disponibles sur les populations d’hippocampes européens, l’exposition a été conçue dans le but explicite de percer leurs mystères.

L’objectif central de l’exposition est d’« émerveiller pour sensibiliser ». En rendant hommage à cet animal, l’exposition a permis de montrer l’incroyable richesse et la fragilité du bassin versant de la lagune de Thau, qui est son habitat naturel. Elle souligne aussi l’implication cruciale des acteurs locaux pour sa préservation. L’exposition Hippocampe est un projet inédit et unique en France, dès sa conception, car il n’existait auparavant aucun projet complet et d’envergure nationale dédié à ces espèces emblématiques des différentes mer du globe.

musée exposition hippocampe

L’ancrage scientifique : le projet Hippo-THAU

L’Exposition Hippocampe est le fruit de neuf années d’un travail effectué dans le cadre du projet scientifique Hippo-THAU, qui est la première étude française sur l’écologie des hippocampes. Le constat de départ était que, malgré les inquiétudes mondiales concernant le devenir de leurs populations, très peu de choses étaient connues sur les hippocampes européens, leur biologie et leur écologie.

Maître d’ouvrage et fonctionnement en réseau

Le CPIE Bassin de Thau, maître d’ouvrage de l’exposition, est une association solidement ancrée sur le territoire de l’Hérault. Il œuvre pour le développement durable et l’environnement par des actions d’éducation, de sensibilisation et de formation. Le CPIE fonctionne en réseau, coordonnant seize structures membres, dont la diversité assure une richesse et une complémentarité des actions. Ce réseau rassemble éducateurs, scientifiques, socio-professionnels, clubs sportifs, pêcheurs, conchyliculteurs et agriculteurs.

Le CPIE Bassin de Thau a reçu des agréments ministériels, notamment de l’Éducation Nationale, de la Protection de l’Environnement et de la Jeunesse et Éducation Populaire, garantissant la qualité de ses initiatives. L’association est également membre agréé du mouvement 1% for the Planet.

Contexte territorial : l’étang de Thau

L’étude se concentre sur l’Étang de Thau, un territoire de 40 000 hectares dans l’Hérault. Cette lagune se caractérise par une position atypique entre la terre et la mer Méditerranée, alimentée en eau douce et eau salée. Avec près de 35% de ses fonds dépassant 5,5 mètres de profondeur, c’est la lagune la plus profonde du Languedoc. Ce mélange constitue un écosystème unique, une véritable petite mer intérieure, lieu privilégié en France pour la présence et l’étude des hippocampes.

Hippo-THAU et la mobilisation citoyenne

Hippo-THAU est avant tout un projet de sciences participatives, coordonné par le CPIE Bassin de Thau et initié par l’association Peau-Bleue en 2005. Il a impliqué activement la population locale et les usagers de la lagune dans la collecte d’informations sur l’espèce. Des centaines d’heures d’observations et d’enquêtes ont été menées par des bénévoles aux profils variés : plongeurs, habitants, scolaires, pêcheurs et conchyliculteurs. Les résultats inédits récoltés grâce à cette dynamique citoyenne sont présentés à travers l’exposition.

Le projet s’inscrit dans un programme plus large, baptisé EnQuête d’Hippocampes, qui a aussi déployé l’Hippo-ATLAS, un programme de collecte d’observations à l’échelle européenne.

Coordination et reconnaissance scientifique

Le commissariat scientifique de l’exposition a été assuré par P. Louisy, biologiste, docteur en océanologie, plongeur et photographe reconnu, ainsi que directeur scientifique de Peau-Bleue. Il se définit lui-même comme un « passeur » entre le monde scientifique et le grand public. Le contenu de l’exposition a été rédigé et relu avec le soutien d’un Comité scientifique comprenant des institutions majeures telles que l’Institut de recherche pour le développement (IRD), le Centre national de la recherche scientifique (CNRS), l’Institut des Sciences de l’évolution-Montpellier (ISEM), l’Agence des aires marines protégées, ainsi que plusieurs universités (Nice, Montpellier 2, Perpignan Via Domitia, Aix-Marseille II) et l’Institut Océanographique Paul Ricard (IOPR).

La qualité des travaux menés a été saluée internationalement. Lucy Woodall, spécialiste en génétique des hippocampes au sein de l’équipe Project Seahorse, a utilisé les données recueillies par Hippo-THAU pour évaluer le statut des hippocampes européens pour la liste rouge des espèces menacées de l’UICN. Les données du projet global EnQuête d’Hippocampes ont également servi de base aux contributions françaises à la convention internationale OSPAR.

Conception et scénographie de la « Boîte bleue »

L’idée d’une exposition d’ampleur nationale est née de la volonté des bénévoles de valoriser le travail scientifique accumulé pendant près de dix ans. L’année 2014 a été celle de la conception, de la rédaction des contenus pédagogiques, de la vulgarisation scientifique et de la stratégie de communication. La scénographie a été choisie à l’issue d’un appel à participation, retenant finalement la société Eye Eye Eye Production.

Un concept innovant : l’immersion totale

Le concept muséographique est basé sur une immersion totale dans le milieu sous-lagunaire, symbolisée par une « boîte bleue » qui transpose un morceau de mer ou de lagune sur le lieu d’exposition. La façade extérieure est opaque, neutre, aux couleurs de la mer et de la lagune, affichant des représentations d’hippocampes à travers les âges (art étrusque, illustration naturaliste, armoirie médiévale) et le titre de l’exposition. À l’intérieur, le visiteur est plongé dans une ambiance tamisée, accompagnée d’un fond musical aquatique.

L’exposition, dans sa forme originale, représente une surface d’environ 100 m²), mesurant 7,4 m de longueur sur 11,4 m en largeur pour 2,6 m de haut. La structure, métallique, est recouverte de 36 bâches intérieures et extérieures qui servent de supports aux différents contenus.

Modularité et technique d’itinérance

L’exposition a été spécifiquement conçue pour être facilement modulable et itinérante, avec une structure composée d’échelles en aluminium suivant le principe d’une construction type Lego. Cela permet de la déstructurer pour s’adapter à divers lieux d’accueil, permettant de toucher un maximum de visiteurs en itinérance en France. Celle-ci était prévue pour une durée d’au moins trois ans, jusqu’à fin 2017.

Trois formats principaux étaient proposés, la quantité de contenus variant selon la taille du lieu d’accueil:

  • La boîte bleue globale, recouvrant 84,5 mètres carrés.
  • Une version carrée, occupant 70 mètres carrés.
  • Une version couloir, plus compacte, de 50 mètres carrés.

La société Arkéis, responsable de la fabrication de la structure, assurait également la gestion de la tournée, fournissant des solutions d’implantation sur mesure. Les matériaux utilisés pour la conception ont été choisis pour leur solidité et légèreté, permettant de garantir des installations et ré-installatons multiples.

Le contenu en détails

L’espace de l’exposition est divisé en cinq secteurs thématiques regroupant un total de 27 modules. L’approche a consisté à présenter des contenus textes épurés et très synthétiques pour vulgariser les informations scientifiques et les rendre accessibles à un public très diversifié : jeunes enfants, scolaires, étudiants, enseignants, familles et scientifiques. L’identité graphique met en valeur l’iconographie et les photographies, visant l’émerveillement à des fins de sensibilisation.

Secteur 1 : biologie de l’hippocampe (Secteur A)

Cet espace plonge le public « dans la peau de l’hippocampe ». Il est consacré à l’anatomie, à la biologie, à la physiologie et au comportement de l’animal. Les visiteurs y découvrent comment l’hippocampe voit, mange, respire, se reproduit et identifie ses principaux prédateurs.

  • Vision binoculaire : L’hippocampe est l’un des rares poissons capables de regarder devant lui avec les deux yeux en même temps, ce qui s’appelle la vision binoculaire. Ses yeux peuvent pivoter dans toutes les directions, parfois même regarder dans des directions différentes (dessus, dessous, devant, derrière ou sur les côtés). Ceci lui permet d’estimer précisément la distance avec sa proie. Ses yeux sont plus bombés que ceux des humains pour mieux voir net dans l’eau.
  • Déplacement : Le principal moteur est sa nageoire dorsale, dont l’ondulation coordonnée des rayons crée un courant d’eau permettant d’avancer. Deux nageoires pectorales sont utilisées pour manœuvrer. L’hippocampe possède uaussi ne nageoire anale dont la fonction précise est incertaine.
  • Le Ttucher et la queue préhensile : Sa queue est à la fois souple, rigide et musclée, lui permettant de s’accrocher à toutes sortes de supports. L’intérieur de sa queue est très sensible, permettant de percevoir l’environnement proche, un peu comme une main chez l’homme. Cette structure de plaques osseuses qui résiste à l’écrasement et protége la moelle épinière est une source d’inspiration pour la biomécanique, notamment pour la conception de cathéters orientables ou de bras articulés sous-marins.
  • Les sens aquatiques : l’hippocampe possède cinq sens adaptés au milieu aquatique. Le goût et l’odorat sont liés sous l’eau car les molécules odorantes sont dissoutes dans l’eau. Il possède des narines pour sentir les odeurs, le siège du goût étant dans la bouche et autour. Pour l’audition, l’hippocampe a une oreille interne. L’eau conduisant très bien les vibrations sonores, il n’a pas besoin de pavillon ni de tympan, les vibrations se transmettant à travers le crâne.

Secteur 2 : hippocampes et syngnathes du Monde (Secteur B)

Intitulé « Regardez ma famille, vous comprendrez qui je suis ! », ce secteur invite à la découverte des hippocampes et syngnathes du monde entier. Le public apprend à connaître les différentes familles de syngnathiformes, des poissons caractérisés par une bouche au bout d’un museau tubulaire, pour mieux comprendre la parenté de l’hippocampe. Les visiteurs peuvent tester leurs connaissances en tentant de retrouver les espèces grandeur nature et en découvrant leurs incroyables facultés de camouflage, qui les aident à se fondre dans leur environnement.

Secteur central : Hippo-THAU & la lagune

Cette partie met en avant l’aventure humaine de ce projet de sciences participatives Hippo-Thau. Les visiteurs découvrent les spécificités écologiques de la lagune de Thau ainsi que les acteurs qui ont participé au projet (scientifiques, plongeurs, élèves, enseignants, etc.) à travers des portraits, des vidéos et des histoires relatant leur travail d’équipe.

Secteur 4 : L’aventure scientifique (Secteur C)

Cet espace, intitulé « Soif de connaissances ! », synthétise et vulgarise la quantité d’informations inédites obtenues grâce à la mobilisation citoyenne en France. Les thèmes abordés incluent la croissance, la génétique et l’évolution de l’espèce, ainsi que les menaces spécifiques qui pèsent sur ces espèces.

Secteur 5 : menaces et solutions dans le monde (Secteur D)

Le secteur clôture l’exposition en montrant les menaces qui pèsent sur les hippocampes et en présentant les solutions mises en oeuvres dans le monde pour leur venir en aide. Il invite les visiteurs à prendre conscience de l’importance de ce travail pour le monde animal et les encourage à rejoindre, à leur tour, le programme de sciences participatives. Il offre ainsi une « belle touche d’humanité et de citoyenneté ».

Dispositif pédagogique et outils interactifs

L’exposition, voir d’autres promos expositions et visites ici, a été conçue pour proposer différents niveaux de lecture et une approche ludique, la transformant en un « véritable cabinet de curiosités » comme on en trouvait au XIXème siècle Le visiteur est placé en position d’acteur grâce à de nombreux éléments manipulables et interactifs.

Modules physiques et numériques

Les dispositifs interactifs et ludiques comprennent :

  • Une table de vision amovible, conçue spécifiquement pour appréhender la vision particulière de l’hippocampe (notamment l’orientation indépendante de ses yeux).
  • Une Bande Dessinée géante illustrant le phénomène de la « Papa Poule » de l’espèce, c’est-à-dire le mode de reproduction où le mâle porte les œufs.
  • Une sculpture en résine dure d’un hippocampe, mettant en évidence ses détails anatomiques.
  • Quatre bornes vidéo : deux à l’entrée et à la sortie (diffusant une animation 3D de l’hippocampe) et deux autres à l’intérieur (diffusant des vidéos humoristiques et éducatives).
  • Des maquettes en 3D incitant à l’interaction et un livre géant.

Ressources éducatives et lien avec le programme scolaire

Un accent particulier a été mis sur le lien avec le programme scolaire, en collaboration avec le service éducatif interne du CPIE Bassin de Thau. L’exposition permet d’aborder une grande diversité de thèmes enseignés, notamment :

  • L’unité et la diversité du vivant.
  • Le fonctionnement des organismes vivants et des écosystèmes.
  • Le développement durable et l’environnement.
  • L’évolution des espèces.

Des outils pédagogiques spécifiques ont été créés pour accompagner les visiteurs :

  • Un livret-jeu, destiné aux familles, comprenant des quiz et des « EnQuête… d’hippocampes ».
  • Un livret pédagogique complet a été développé pour proposer des animations aux scolaires.
  • Un document complet de visite en langue anglaise était disponible.

En plus, l’équipe de diffusion de l’exposition fournissait un kit communication et proposait la possibilité de formations à la visite guidée pour les structures d’accueil.

Itinérance nationale de l’exposition : dates et lieux

L’Exposition Hippocampe a été conçue pour une itinérance d’au moins trois ans, et a voyagé dans plusieurs lieux notables en France, valorisant les découvertes du projet Hippo-THAU.

Premières étapes sur le territoire de Thau (2015)

  • Sète (Hérault, 34) : Inauguration
    • Lieu : Espace Paul Boyé, 45 quai de Bosc.
    • Dates : Inaugurée le vendredi 27 février 2015, l’exposition est restée ouverte jusqu’au 17 avril 2015.
    • L’événement a été présenté par Thau Agglo et la ville de Sète.L’inauguration a été un grand succès, réunissant près de 400 personnes. L’intérêt du public s’est confirmé avec déjà plus de 200 visiteurs dès le week-end suivant l’ouverture. Des visites gratuites pour les scolaires du territoire de Thau étaient organisées tous les mercredis
  • Marseillan (Hérault, 34) : deuxième halte Locale
    • Lieu : Maison Noilly Prat, 1 rue Noilly, 34340 Marseillan.
    • Dates : Du 7 mai au 31 août 2015.
    • L’exposition était présentée en partenariat avec la Maison Noilly Prat, au milieu des chais, offrant une journée de découvertes incluant la visite des chais et la dégustation des produits. Elle a enregistré près de 5 000 visiteurs sur le territoire de Thau en 2015.

Tournée nationale et présentations principales

  • Île des Embiez (Var, 83) : Début de l’Itinérance Nationale
    • Lieu : Institut Océanographique Paul Ricard (IOPR), Salle Marcel Pagnol, Île des Embiez, Six-Fours-Les-Plages.
    • Dates : Du 9 juillet au 20 août 2016.
    • Ceci a marqué le début de l’itinérance nationale de l’exposition, présentée par l’IOPR, membre actif du comité scientifique. L’entrée était libre et gratuite, et l’exposition de 90m² a permis de mettre en valeur la richesse du territoire de Thau.
  • Salon International de la Plongée Sous-Marine (Paris, 75)
    • Lieu : Parc des Expositions Porte de Versailles, Pavillons 5/2 et 5/3, Paris
    • Dates : Du 11 au 14 janvier 2019
    • L’exposition a été l’événement phare de la 21e édition du Salon, qui était dédiée aux sciences participatives. Elle y fut présentée sous le titre « HIPPOCAMPES, une famille d’excentriques ». Un ouvrage du même nom, coédité par Biotope Éditions et le CPIE Bassin de Thau, a été présenté en avant-première à cette occasion.
  • Aquarium Tropical de la Porte Dorée (Paris, 75)
    • Lieu : Aquarium tropical de la Porte Dorée à Paris
    • Dates : Du 1er juin 2021 au 5 septembre 2021
    • L’exposition a été mise à l’honneur pour la réouverture de l’Aquarium après une année de travaux. L’équipe CPIE Bassin de Thau était présente les 5 et 6 juin pour proposer des visites commentées lors de la Fête de l’Océan et faire découvrir le réseau Sentinelles de la mer Occitanie.

Partenariats et impact de l’expo

Partenaires et soutiens

L’Exposition Hippocampe est un projet multi-partenarial soutenu par onze partenaires financiers, institutionnels et privés. Parmi les principaux soutiens, on retrouve : le Ministère de l’Environnement, de l’énergie et de la mer, l’Office français pour la biodiversité, l’Agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse (qui a notamment apporté un soutien financier), la Région Occitanie (anciennement Languedoc-Roussillon), le Département de l’Hérault, la DREAL Languedoc-Roussillon, l’Agence des Aires Marines Protégées, Thau Agglopôle, la Communauté de Communes Nord du Bassin de Thau (CCNBT) et le SMBT. Des fondations privées, notamment la Fondation Banque Populaire du Sud (qui a octroyé une subvention de 4 000€), la Fondation Kronenbourg, la Fondation Bouygues Télécom et EDF ont également soutenu le projet.

Un comité de soutien a apporté crédibilité et renommée au projet, incluant des personnalités reconnues telles que Jean Louis Étienne, René Heuzey, et la Fondation Nicolas Hulot.

Succès et qualité du projet

Dès son lancement, l’exposition a connu un beau succès, avec près de 400 personnes présentes à l’inauguration à Sète et un total de 5 000 visiteurs enregistrés en 2015. L’exposition était une boîte bleue de 100 mètres carrés. Les retours du public ont été unanimement positifs, reconnaissant la qualité des contenus tant au niveau scientifique qu’en termes de vulgarisation et d’accessibilité. L’analyse des questionnaires d’évaluation a révélé que 100% des personnes interrogées ont trouvé les panneaux facilement compréhensibles et conseilleraient la visite à leur entourage.

Le projet a bénéficié d’un large écho médiatique, avec plus de 50 articles parus dans la presse locale et nationale, ainsi que des reportages télévisés (TF1, France 3, France 2, ARTE, Thalassa). Un site internet dédié au format « one page » a été créé, enregistrant plus de 10 000 visites en un an, ainsi qu’une page Facebook pour mobiliser le public autour de l’événement.

Voir des Hippocampes

Cette exposition est terminée. Mais elle vous a peut-être donné envir d’observer des hippocampes. Outre le plongée, pas focrément pratique, facile et accessible à tous, une solution consiste à profiter des aquariums, nombreux en France pour voir des hippocampes variés.

Revue de presse de l’Exposition

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